Pluvigner porte:
écartelé d'or et de gueules, à une bordure engrêlée de l'un en l'autre
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pluvigner
Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.
Longtemps, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime en 1789, les coutumes locales régentaient la vie des communautés villageoises ou urbaines. Elles étaient souvent fruit de chartes signées avec un seigneur d'autrefois, ou résultats des us passés qui étaient devenus lois communes.
Les droits de passages étaient fortement réglementés, et bien sûr taxés dans la foulée ; cela était le cas de Barrême, petite commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France...
Alors petit port, Saint-Cast voyait belle population de pêcheurs. Comme dans l'immense majorité des populations maritimes, joindre les deux bouts - comme le dit l'expression populaire, était préoccupation récurrente ; ces sociétés étaient bien éloignées de notre monde occidental actuel gaspillant follement. Les vêtements étaient utilisés au maximum et, fort souvent, retrouvaient autres usages ; c'est le cas des vareuses de marins. Le prétexte permettant usage de vieilles vareuses permettait aussi de garder la tête haute et évitait d'afficher sa pauvreté.
Il est dit qu'autrefois, à Saint-Cast mais aussi ailleurs, les femmes couvraient leurs bébés d'une vareuse de marin car cela les protégeaient des rhumatismes et ds maladies infantiles.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Pluvigner ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Nés dans la commune, ils connurent une certaine notoriété nationale ou internationale, régionale ou locale et méritent d'être mieux connus.
Ils étaient écrivains, militaires, religieux, peintres ou autres activités et brillèrent dans leur domaine ou marquèrent les esprits et l'Histoire locale comme, à titre d'exemple,
Ils sont célébrités de Pluvigner
Habitants de Pluvigner, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Alphand vole les perruques !
Le 13 mai 1697, au Vigneaux, commune française des Hautes-Alpes, Joseph Giraud, capitaine de Vallouise, portait plainte contre Pierre Alphand, notaire de la Bastie. L'affaire était sérieuse, fit grand bruit dans la région et la procédure fut longue.
Le Tribunal de Briançon vit les juges fouiller leurs archives pour trouver un précédent concernant le Vol de perruque.
N'en trouvant point, ils condamnèrent Pierre Alphand au déperruquement ; ce qui fut fait au grand bonheur de Joseph Giraud !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Pluvigner ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Pluvigner ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Saint - XIV° siècle
Breton, fils de chevalier, Yves perd son père et est élevé par sa mère. Brillant, il devient prêtre après avoir étudié théologie, arts, lettres et droit, il devient curé de Trédrez et juge écclésiastique.
Juge intègre et juste, prédicateur brillant, il prêche dans plusieurs paroisses dans les environs de son domicile au Manoir de Minihy, en Tréguier.
Miz genver, hiziv evel hent
A ziskouez eo hir he zent...Janvier aujourd'hui comme avant,
Montre qu'il a longues les dents
⤇ Le photographe - Année 1930
À la plage, un homme se noie. Un enfant se précipite vers un photographe.
- Vite, Monsieur, un homme se noie.
- Désolé mon garçon, je n'ai plus de pellicules...
Nous remercions les différents contributeurs de Pluvigner.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !