Saint-Jean-Brévelay porte:
écartelé: au 1°, de sable à une tête de crosse abbatiale d'or ; au 2°, de gueules à trois mâcles d'or ; au 3°, de vair ; au 4°, de sable au coq hardi d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-Jean-Brévelay
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Longtemps, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime en 1789, les coutumes locales régentaient la vie des communautés villageoises ou urbaines. Elles étaient souvent fruit de chartes signées avec un seigneur d'autrefois, ou résultats des us passés qui étaient devenus lois communes.
Les droits de passages étaient fortement réglementés, et bien sûr taxés dans la foulée ; cela était le cas de Barrême, petite commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France...
Acham est un démon qu'il faut conjurer le jeudi ; il arrive entre 3 et 4 heures du matin.
Dessinez un cercle magique, écrivez Par le Dieu Saint, Nasim en récitant Je te conjure, Acham ! Je te commande par tous les royaumes de Dieu, agis, je t'adjure.
Proposez-lui alors un morceau de pain pour lui donner congé. Courtois, il repart gentiment.
Cela fonctionne: ceux ayant utilisé cette formule certifient sur la Foi qu'ils n'ont même pas vu Acham !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-Jean-Brévelay ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-Jean-Brévelay, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Surprenant nouveau-né
Le 1° novembre 1803, la femme d'un cultivateur de Sigale, commune française des Alpes-Maritimes, accouchait d'un enfant ;il ne vécut qu'une demi-heure.
De sexe féminin, le nouveau-né était doté d'une conformation si surprenante qu'une mission de santé vint de Nice et dressa procès-verbal.
L'enfant fut décrit comme n'ayant pas de cou, pas de nez mais un œil quadrangulaire de la taille d'un œil adulte .Au-dessus de l'œil unique se trouvait un corps charnu, élevé et parfaitement droit, large comme deux doigts. Le front du nouveau-né était inexistant ; il avait deux petites oreilles minuscules.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Jean-Brévelay ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Jean-Brévelay ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Saint - XIV° siècle
Breton, fils de chevalier, Yves perd son père et est élevé par sa mère. Brillant, il devient prêtre après avoir étudié théologie, arts, lettres et droit, il devient curé de Trédrez et juge écclésiastique.
Juge intègre et juste, prédicateur brillant, il prêche dans plusieurs paroisses dans les environs de son domicile au Manoir de Minihy, en Tréguier.
Meunier, larron,
Voleur de blé
C'est ton métier,
La corde au cou
Comme un coucou,
La corde au cou,
Comme un damné,
Le fers aux pieds,
QQuatre diables à l'entourer,
Qui l'emporteront au fond d'la mer...
⤇ Tac au tac - Année 1883
Aux Tuileries, deux jeunes filles ne s'appréciant guère se promènent l'une derrière l'autre. L'une barbouille un papier avec un crayon puis, le froissant, le jette derrière elle sans ménagement. L'autre le ramasse puis, la hélant, lui rapporte son papier en lui disant:
- Je ne savais pas que tu savais écrire..
- Tiens, tu sais donc lire ? lui répondit l'autre avec étonnement.
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Jean-Brévelay.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !