Voljsky est une commune de 321.479 habitants en département de Volgogradskaya qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Voljsky porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Voljsky
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
De sanguinaires pirates venant du sud souhaitaient piller les habitants de Sakhaline. Trois guerriers nivkhes courageux, ayant demandé protection des esprits marins qui ne répondirent. Devant ce silence, ils se levèrent, sautèrent à la mer et coulèrent le bateau pirate.
Celui-ci coulé, ils restèrent sur place, se pétrifiant pour continuer à protéger cette partie de l'île.
Longtemps, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime en 1789, les coutumes locales régentaient la vie des communautés villageoises ou urbaines. Elles étaient souvent fruit de chartes signées avec un seigneur d'autrefois, ou résultats des us passés qui étaient devenus lois communes.
Les droits de passages étaient fortement réglementés, et bien sûr taxés dans la foulée ; cela était le cas de Barrême, petite commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Voljsky ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Voljsky, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Le seigneur exagère !
À Valserres, agréable commune française en Hautes-Alpes, les radeliers de la Durance se devaient de payer des taxes seigneuriales de passage - sans compter les autres. Cela faisant monter les prix du bois, le Conseil du Roi supprima ce Droit de Charnage prélevé sur les radeaux passant en sa seigneurie. Le Sieur du Bois, seigneur des lieux, esta en Justice prouvant que ces droits étaient fondés. Il présenta copie tirée de la Chambre des Comptes du Dauphiné d'une donation faite par Humbert, dauphin du Viennois, à Giraud de Saint Marcel, seigneur de Valserres, aïeul du Sieur du Bois, daté du 3 décembre 1296 et cédant tous les droits delphinaux sur Valserres au nommé Giraud, ainsi qu'à ses descendants et ayant-droits.
Les exigences de la Justice furent tels que ce bon Sieur du Bois dut faire une croix sur ses droits...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Voljsky ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Voljsky ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Flora de Cordoue, Martyres - IX° siècle
Morte en 854, Flora, native de Cordoue, est née de père musulman et mère chrétienne. Faisant choix de chrétienté, elle refusa de se convertir à l'Islam. Torturée par son frère, musulman, battue, la peau du crâne arrachée sous le fouet, elle réussit à s'enfuir et se réfugia chez une sœur, Marie. Après avoir prié, elles se présentèrent chez le juge, furent condamées à être décapitées puis leurs corps jetés aux chiens avant d'être jetées au fleuve. Nous étions le 24 novembre 851.
⤇ La bonne éducation - Année 1885
- Les gens bien élevés ont toujours tort de tempêter.
LE COCHON, journal des gens sales - Numéro 3 - 1885
Nous remercions les différents contributeurs de Voljsky.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !