Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Trémaouezan, en breton Tremaouezan est attesté dès 1363 sous la forme Tremagouezou.
Ce toponyme est formé sur Trev dont le sens primitif délimitait une division territoriale du territoire, et l'anthroponyme Maouezan ; sans doute le nom du chef de clan ayant colonisé ce territoire lors de l'arrivée des bretons insulaires.
Trémaouézan porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Trémaouézan
Le Choléra à Trémaouézan
Longtemps, nos régions et nos villages ont subi des épidémies récurrentes. Certaines furent terribles et ont profondément marqué les mémoires, d'autres si elles furent moins lourdes n'en firent pas moins de gros ravages. C'est le cas de l'épidémie de choléra qui ravagea la Bretagne entre 1885 et 1886.
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Trémaouézan ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Trémaouézan, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
⤇ Écrasée
Trémaouezan, 21 juillet - À la gare de Trémaouézan, sur la petite ligne de Landerneau à Plounéour récemment inaugurée, en descendant de wagon, Mme Courtois, 71 ans, mère du curé de Trémaouézan, a été jetée sous les roues et tuée sur le coup.
LA CROIX - 22 juillet 1894
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Gaïdaï en Mongolie
En 1942, Léonid Iovitch Gaïdaï - Леони́д Ио́вич Гайда́й, réalisateur soviétique servit en Mongolie puis au Front de Kalinine. Le film Opération Y voit une réplique célèbre liée de cette période mongole.
Venu chercher des volontaires, un commissaire énumérait les spécialités recherchées. Gaïdaï criant Moi ! à chaque demande, ce commissaire hurla à Gaïdaï de le laisser finir la liste: Gaïdaï, laissez-moi finir la liste !.
Gaïdaï, volontaire, terminera la guerre dans la reconnaissance à pied.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Trémaouézan ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Trémaouézan ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Séverin de Paris, Ermite - VI° siècle
Enfermé dans une cellule des bords de Seine, Séverin, aspirait à la vie contemplative. Ouvert malgré son retrait de la vie publique, il eut plusieurs disciples dont Saint Cloud, célèbre en région parisienne. Le lieu de sa vie , et lieu où il fut enterré, devint la paroisse de saint Séverin à Paris. Cet ermite vécut au début du VI° siècle et, semble-t-il, mourut en 540.
Meurzh gant ur c'hwezadenn
A zisec'h ar foz penn-da-benn.
Mars, d'un souffle
dessèche le fossé d'un bout à l'autre
⤇ Les fables ont bon dos - Année 1883
Jean fait sa prière depuis plus d'une demi-heure. Sa mère l'appelle:
- Jean, voyons, il est l'heure de se coucher, dépêche-toi un peu.
Et Jean de répondre:
- C'est que j'aime tant le Bon Dieu que je lui ai récité toutes les fables.
Nous remercions les différents contributeurs de Trémaouézan.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !