Pluméliau est une commune de 3.624 habitants en département de Morbihan qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Pluméliau, Pluniav en breton, se décompose en Plou - la terre, la paroisse, le terroir - et Meliav, saint ou, plus probablement, chef breton dont c'était le territoire. Vous ne confondrez pas Plou et Gwi- qui désigne le bourg même
L'année 1066 nosu laisse découvrir un Plomeleau et un Plemeliau puis, en 1286, un Plemeliat dans les archives du duché de Rohan-Chabot.
Pluméliau porte:
d'azur à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de sept roses d'or posées en orle, brochants sur le tout
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pluméliau
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
De sanguinaires pirates venant du sud souhaitaient piller les habitants de Sakhaline. Trois guerriers nivkhes courageux, ayant demandé protection des esprits marins qui ne répondirent. Devant ce silence, ils se levèrent, sautèrent à la mer et coulèrent le bateau pirate.
Celui-ci coulé, ils restèrent sur place, se pétrifiant pour continuer à protéger cette partie de l'île.
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Pluméliau ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Pluméliau, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
⤇ Disparition
Pluméliau - La femme de Le Frêne, éclusier au Camblen en Pluméliau, rentrant ddu marché de Pontivy, descendait lundi soir du train de 6h 37 à Saint-Nicolas, d'où elle prit la direction de son écluse avec une femme d'un village voisin, Gueltas, situé près du tunnel du Castennec. Que se passa-t-il quand elle quitta cette dernière ? Elle n'a pas reparu pour le raconter. Elle n'était plus qu'à 2 ou 3 cents mètres de sa demeure, mais la nuit était très noire et le temps horrible.
On a trouvé dans le Blavet le panier qu'elle portait, mais la pauvre femme doit être au fond du canal, où l'on a commencé aussitôt les recherches.
On croit avoir reconnu l'endroit où la pauvre femme avait dévié et glissé. C'est à ce même point du Blavet que s'était noyé, il y a bientôt deux ans le jeune Robic de Kergar en Bieuzy, en voulant se sauver devant les gendarmes qui le poursuivaient comme braconnier.
L'ARVOR - 10 avril 1897
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Pluméliau ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Pluméliau ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☼ St Quentin, Missionnaire - III° siècle
Compagnon de Saint Lucien de Beauvais, Quentin, 5° enfant, part évangéliser la Gaule en Beauvaisis et Picardie. Rictiovare, préfet romain de la région, voyant des agitateurs religieux arriver, fait arrêter Quentin à Soissons. Comme tout bon préfet de l'époque, et qui se respecte, il le fait torturer, supplicier puis couper la tête suite à évasion. Son corps fut jeté dans les marais de la Somme puis retrouvé, 55 ans plus tard, par une riche aveugle, Eusébie, venue de Rome spécialement dans ce but ; une femme clairvoyante !
Miz c'hwevrer a c'hwez, a c'hwez.
Hag a lazh ar voualc'h war he neizh.
Février souffle, souffle
Et tue le merle sur son nid.
⤇ En Provence - Année 1885
Un gascon disait à un provençal:
— Cadédis ! Chez nous le train marche aussi vite que le vent !
— Troun de l'air ! fit l'autre, c'est encore mieux chez nous. Dernièrement, j'arrivai par le train à Tarascon et je me prends de querelle avec le chef de gare. Au moment où le train partait, je m'échauffe. Vlan ! je lui flanque une gifle. Eh bien, c'est le chef de gare de Marseille qui l'a reçue !
Nous remercions les différents contributeurs de Pluméliau.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !