Pluherlin porte:
écartelé: au premier d'argent à une croix d'azur ; au deuxième de gueules au maillet en barre accompagné à senestre en pointe d'un burin en pal, le tout d'or ; au troisième de gueules au menhir d'or ; au quatrième d'argent au moulin du même à une roue à aubes de sable soutenu d'une jumelle ondée d'azur
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pluherlin
Sur les côtes de Saint-Malo, en Bretagne et après un coup de gros temps, vous pourrez apercevoir des tâches sur la mer; ces marques sont les Sentes de la Vierge.
Lorsque les éléments sont déchaînés, la Mère de Jésus descend sur les flots furieux et les calme grâce à son Amour de tout et de tous.
Remerciez-la et ayez une pensée pour elle qui a travaillé à vous apporter le beau temps que vous voyez en lisant ces lignes...
Certains qui ont don de voir les intersignes - Ar Sinadoù en breton, ces présages annonçant la mort d'un proche. Il existe aussi des intersignes visibles de tous.
L'intersigne des chevaux est sans appel:
Si la nuit, vous rêvez de chevaux, c'est signe de mort, à moins que les chevaux de votre rêve ne soient blancs.
Ploumoguer, commune léonarde du Finistère, en toutes les côtes bretonnes et du monde, furent lieu de croyances et superstitions liées à la mer ; ces croyances et superstitions n'ont pas disparu, elles ont simplement changé de genre et lieu.
Par le passé, il était affirmé en Basse-Bretagne que mettre des berniques dans le berceau d'un enfant le protégeait des vers.
Nous attendons confirmation !
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Pluherlin ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Pluherlin, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Laugier, sacristain à Blégiers
À l'époque, être sacristain n'était pas bénévolat mais un métier à part entière et l'homme était salarié par la paroisse et paroissiens qu'il servait.
La rémunération du sacristain se négociait et contrat était signé ; parfois certains droits disparaissaient, d'autres apparaissaient mais, en moyenne, les rémunérations étaient stables.
Le sacristain de Blégiers, ancienne commune des Alpes-de-Haute-Provence, recut une compensation lui permettant de s'assurer des revenus suffisants. Peu avant l'année 1526, lui fut confirmé des droits décimaux sur la prébende de Blégiers. L'acte d'arrentement, facturé 35 écus, fixait la prébende du sieur sacristain, un certain Laugier, consistant en la moitié du dixième du blé du lieu de Blégiers, ainsi que l'usage d'un bâtiment et petit jardin joignant au quartier du Bourg. Le tout valant en tout 450 livres de rente annuelle.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Pluherlin ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Pluherlin ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Miz genver, hiziv evel hent
A ziskouez eo hir he zent...Janvier aujourd'hui comme avant,
Montre qu'il a longues les dents
⤇ Au tribunal - Année 1896
En cour d’assises, l'avocat général se lance dans son réquisitoire:
- Et cet homme, Messieurs les jurés, ce lâche assassin, coupable d’un si odieux forfait, ce vil malfaiteur.
L’accusé dignement:
- Assez, Monsieur, assez ! Je ne saurais en supporter davantage, j’aime mieux m’en aller.
Nous remercions les différents contributeurs de Pluherlin.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !