Adamswiller est une commune de 400 habitants en département de Bas-Rhin qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Adamswiller, en alémanique Àdàmswiller, est attesté dès l'an 1281 avec un Adelmanswiler. L'année 1793 verra un Adamsweiller. Willer dérive du Villare latin et désignait une exploitation agricole. Ce mot est passé dans les langues germaniques et das Weiler désigne un hameau. Adelman dérive certainement de l'anthroponyme Adel, toujours usité et de Man - homme en allemand.
Adamswiller porte:
d'argent mantelé d'or au chevron de gueules brochant sur la partition
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Adamswiller
Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.
Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Adamswiller ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Adamswiller, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ La première voiture !
L'Aisne, département français, n'avait alors aucun véhicule à moteur particulier, nous étions en 1915.
C'est le 27 mai 1915 que Madame Walter, commerçante, reçut sa première voiture automobile, qui était aussi la première voiture particulière de l'Aisne. Son mari, ses aides, livreurs et salariés, étant sous les drapeaux, elle avait commandé une voiture à pétrole de marque Clément-Bayard qui fut immatriculée 986-R-9.
Le récipissé fut signé ce 27 mai 1915.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Adamswiller ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Adamswiller ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Abba l'Ismaélite, Saint - V° siècle
Converti par le moine Maroze, Abba, aussi connu sous le nom d'Agabbas, se retira avec Saint Eusèbe de Syrie dans la région d'Antioche. Nous n'en connaissons que très peu la vie de ce personnage si ce n'est qu'il était Isamélite - un peuple arabe, et fut ascète auprès de Saint Eusèbe de Syrie qui lui enseigna la prière intérieure et les joies du silence. Abba vécut son ascèse debout ou à genoux mais ne se couchait jamais ; cela lui permettant d'être toujours en prière. Il mourut en sainteté.
Hérébé que hèrèbéyo,
Si hérébé nou hérêbéyo
Mars que marsouléyo,
Si Mars nou marsouléyo
Touts els mes d'édan que gouttereyon.
Février, donne des giboulées,
Si ce n'est février c'est mars,
Si mars est sans giboulées,
Il pleut tous les mois de l'année.
⤇ En correctionnelle - Année 1904
- Accusé, vous vous promeniez dans les rues, armé d’un formidable gourdin, déambulant toute la nuit et assommant les passants !
- Mon Président, j’engraissais trop, alors le médecin m’a conseillé de l’exercice !
Nous remercions les différents contributeurs de Adamswiller.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !