Léningradskaya

Étymologies et toponymes

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■ Léningradskaya: Étymologies et toponymes

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes.

Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naître nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons ces néo-toponymes passe-partout, tristes, effrayants et déprimants appliqués sans réflexion à des lieux chargés de belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé

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Rue Bric et Brac

⌘ Léningradskaya: Étymologies et toponymes

⟾ L'oblast

L'oblast de Léningrad a conservé l'appellation soviétique qui fut celle de Saint-Pétersbourg en URSS, entre 1924, mort de Lénine qui lui donnera alors son nom, et 1991 voyant la ville rebaptisée de son ancien toponyme. Le suffixe -grad désigne une ville, comme le mot russe Город - Gorod.

La langue officielle: Le Russe

Le russe est la langue officielle de l'oblast. C'est une langue indo-européenne appartenant au groupe des langues slaves orientales. Les russisants représentent 280 millions de personnes. Le russe utilise des caractères cyrilliques.

La population

En Fédération de Russie, chaque citoyen peut déclarer librement sa nationalité ou non. Parmi ceux ayant déclarié leur apprtenance culturelle, les russes représentent la majorité de la population de l'oblast, soit 93%. Le second groupe est formé par les ukrainiens, 2% ; puis par les biélorusses, 1,1%. Tous les autres appartenances s'étant déclarées comme telles forment le solde, en groupes tous inférieurs à 1%.

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◎ Toponymes communaux

⌘ Nos toponymes

Datant souvent des temps les plus anciens, images de l'Histoire, de ses hommes, de leurs langues, nos toponymes sont reflets de l'occupation des territoires par les civilisations qui se succèdent.

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes. Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naitre nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons les néo-toponymes passe-partout, tristesse effrayante, déprimante et appliqués sans réflexion à des lieux chargés de si belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé ; combien de nouvelles communes aux noms à faire pleurer pierres et monuments ; simple plaidoyer pour nos toponymes, si riches, si beaux, si maltraités par facilité intellectuelle.

Il n'y a pas si longtemps, champs, prés et lieux, si petits soient-ils, avaient un nom: un microtoponyme définissant ce lieu avec précision et fort riche d'information. Ces noms, avec une modernité toponymique, se perdent dans l'oubli. Nous tentons de les inscrire quand découverts et localisés fiablement.