Konocha R. est une commune de 18.693 habitants en département de Arkhangelsk qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Konocha R. porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Konocha R.
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !
L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Konocha R. ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Konocha R., ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Truands de moulins
Les meuniers ont toujours trainé réputation de fripons. Au Moyen-Âge, ils formaient d'ailleurs la bande des blasonnés du truandage professionnel avec les boulangers, les tailleurs d'habits et les juges. Moult mauvaises histoires et dictons à leur sujet circulaient, dont, pour le meuniers, celles de fraudes aux farines.
Il est rapporté qu'en Massif Central mais aussi ailleurs, certains meuniers faisaient des trous discrets dans leurs ais et y accrochaient des sacs à farine. Au lieu d'arriver dans les sacs de leur client, la farine tombait dans le sac du meunier qui, ainsi truandait son client. Multiples Édits Royaux interdisaient strictement ces pratiques sous peine de pilori.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Konocha R. ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Konocha R. ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☦ Dimitri de Rostov, Saint - XVII° siècle
Ukrainien, né à Kiev le 21 décembre 1651, il est Higoumène - abbé, puis Métropolite de Sibérie lors de son exil vers cet immense pays. Sa peine commuée par Piotr Veliki - Pierre le Grand, il rentre à Moscou. Chercheur, lettré, il est nommé métropolite de Rostov-sur-le-Don, en l'oblast du même nom. Avec diplomatie, entreprenant les réformes nécéssaires à la religion orhodoxe, il continue ses recherches et réflexions. Un matin, on le trouva mort près de son lit.
Si en bâtissant on écoutait les avis de tous le monde, le toit ne serait jamais posé.
⤇ La Marquise - Année 1896
Un rallié à particule, qui a fait maintes démarches infructueuses pour obtenir un emploi à l’étranger, cause avec la marquise de C...
- Oui, j’ai eu tort d’aller à la République...
En voyant ce qui se passe aujourd’hui, on n’ose plus, en vérité, dire que l’on est Français ; je suis tenté, parfois, de me faire Suisse !
Et la marquise, intransigeante et vieux régime, répond en souriant :
- Chez qui ?
Nous remercions les différents contributeurs de Konocha R..
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !