

L'ancienne commune bretonne de Ploujean a fusionné avec la ville de Morlaix le 22 février 1959 mais cette fusion ne mettait pas point final à la vie de la commune devenue quartier morlaisien.
Vous n'hésiterez pas à vous arrêter à Ploujean pour vous laisser emporter par l'Histoire et la découverte de son patrimoine remarquable.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Ploujean porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Ploujean


Certains qui ont don de voir les intersignes - Ar Sinadoù en breton, ces présages annonçant la mort d'un proche. Il existe aussi des intersignes visibles de tous.
L'intersigne des chevaux est sans appel:
Si la nuit, vous rêvez de chevaux, c'est signe de mort, à moins que les chevaux de votre rêve ne soient blancs.

On sait que le Dalaï-Lama, chef de la religion tibétaine, est regardé comme un dieu. Si ses excréments sont conservés comme sacrés, dans le royaume de Jioulan, on fait sécher également les plus grossières déjections du roi, et après les avoir renfermées dans de petites boîtes, on les vend dans les marchés pour saupoudrer les viandes.
Source: Dictionnaire infernal - année 1844
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Ploujean ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Ploujean, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Vols
Ploujean, 4 janvier - Des malfaiteurs, restés inconnus, se sont introduits chez M. Jacob, cantonnier à la Carrière, en Ploujean ; ils ont dérobé quatre poules, d'une valeur de quinze francs et ont endommagé le poulailler. Chez M. Ciby, ils ont pris du linge, six paires de bas, une camisole et un caleçon. Une enquête est ouverte.
L'ÉCHO DU FINISTÈRE, 6 janvier 1912
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Le cordonnier de Williers
Il s'appelait Médard Corvisier, cordonnier vivant en 1789 à Williers, petit village frontalier des Ardennes françaises.
Il fut arrêté le 25 brumaire An II - 15 Novembre 1793 pour avoir réclamé le retour de l'Ancien Régime. Le 6 thermidor An II - 24 Juillet 1794, il fut libéré sur demande de Vassant, maire de Sedan, mais, en contrepartie, fut condamné à fabriquer des chaussures aux patriotes. Il occupait la cellule N° 36 au Mont-Dieu, ancienne chârtreuse reconvertie en prison sous la Terreur et meurt à Laon le 28 juin 1799.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Ploujean ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Ploujean ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Veuve - XII° siècle
Hongroise, Élisabeth, est fiancée à 4 ans et mariée à 14 au Landgrave de Thuringe ; le couple est sincère. Rencontrant des franciscains, se mettant au service des pauvres, elle est veuve à 20 ans et attend son 3° enfant. Chassée par sa belle-famille car refusant de se remarier ; elle se retrouve habiter une porcherie dit la légende. Son oncle, évêque de Bamberg, la voit revêtir la bure, sa famille se charge de l'éducation de ses trois enfants. Elle meurt à 24 ans en 1231.

Meurzh gant ur c'hwezadenn
A zisec'h ar foz penn-da-benn.Mars, d'un souffle
dessèche le fossé d'un bout à l'autre

⤇ Le Docteur - Année 1896
Un jeune morticole, frais émoulu de la Faculté de Médecine, a pu ouvrir un cabinet médical grâce aux libéralités d’un sien oncle qu’il ne cesse de harceler depuis lors de demandes de subsides.
- C’est incompréhensible ! se récriait dernièrement le bonhomme. Tu n’as donc pas de clients ?
- Ce ne sont pas les clients qui me manquent, mon oncle, seulement, c’est une fatalité: ils ne sont jamais malades !
Nous remercions les différents contributeurs de Ploujean.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !