Nous retrouvons ce toponyme au XI° siècle avec un Lan Sancti Uuiureti dans le cartulaire de Landévennec. L'année 1330 nous fait découvrir un Languefret dans un rôle de décîmes dûes à Rome. Il semblerait, mais avec moins de certitudes, que c'est en l'an 985 que le Comte Even fit don aux moines de Landévennec d'un trève signalée Quamdam tribum, nomine Lan Sancti Wiwreti, signalant ainsi que les moines bénéficient de toutes les dîmes et appartenances ; ce fait semble plus légendaire que fondé.
La prononciation locale, d'après François Kerbaol, né en 1841 à Kerarret, se rapprochait d'un Lanœuvret, avec in œu très marqué et le V long.<