Erquy est une commune de 3.800 habitants en département de Côtes d'Armor qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Erquy, en breton Erge-ar-Mor, est attesté en l'an 1167 avec un Parrochia de Erke visible dans une charte de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois. L'année 1223 est intéressante et nous dévoile un Harque que nous retrouvons en 1237 sous la forme Arque. 1278 laisse découvrir un Herqueyo qui, année 1282, revient à Erquey.
De signification identique aux multiples Ergué de Bretagne, Erquy dériverait du vieux-breton garth qui donnera le mot féminin breton Garzh - Haie.
Erquy porte:
de sinople à une sirène d'or, les cheveux flottant, les bras et la queue tournés au senestre évoquant la grande lettre E ; au chef d'hermine
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Erquy
Une tradition locale laisse entendre que le village de Neffes, village des Hautes-Alpes, en sud Dauphiné et France, possédait trois portes.
L'une de ces portes, la plus grandiose, prestigieuse, sans pareille au monde, s'appelait Albine.
Ces trois portes ont disparu sans laisser de traces...
Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Erquy ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Erquy, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Elle vous regarde
Cerdon, charmante commune française de l'Ain, est aussi réputée pour son agréable vin ; si vous y séjournez, vous boirez certainement un ou plusieurs verres de cet excellent Vin de Cerdon.
Ne vous laissez cependant pas aller à vider bouteilles cruchons et carafons jusqu'à oubli car une surveillance ferme est réalisée par les instances supérieures !
Si vous abusez de la dive bouteille avec trop de zèle et levez le nez - si vous y arrivez encore, vous remarquerez que la Vierge du Carmier vous montre du doigt en vous disant que les excès...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Erquy ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Erquy ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Flora de Cordoue, Martyres - IX° siècle
Morte en 854, Flora, native de Cordoue, est née de père musulman et mère chrétienne. Faisant choix de chrétienté, elle refusa de se convertir à l'Islam. Torturée par son frère, musulman, battue, la peau du crâne arrachée sous le fouet, elle réussit à s'enfuir et se réfugia chez une sœur, Marie. Après avoir prié, elles se présentèrent chez le juge, furent condamées à être décapitées puis leurs corps jetés aux chiens avant d'être jetées au fleuve. Nous étions le 24 novembre 851.
Gwell eo gwelet ki an kounnard
Evit heol tomm a miz Genver.
Mieux vaut voir chien enragé
Que chaud soleil en janvier.
⤇ Défense de sortir par l'entrée - Année 1937
Un brigadier est très en colère contre ses gendarmes qui ont laissé fuir un voleur. Il leur remonte le brelage vigoureusement.
- Je vous avais pourtant bien dit de surveiller toutes les sorties ! crie-t-il, furieux.
- Oui, Brigadier, répondent les gendarmes, nous l'avons fait mais il a dû se sauver par une des entrées...
Nous remercions les différents contributeurs de Erquy.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !