

Le Ponthou est une commune de 200 habitants en département de Finistère qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Le Ponthou porte:
d'or chaussé d'azur, à deux ponts anciens de trois arches de l'un en l'autre, posés en fasce et brochant sur le partition,; accompagnés en chef d'une croix pattée de gueules et en pointe d'un cor de poste d'azur
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Le Ponthou

Sur les côtes bretonnes, à mi-marée et lorsque la mer est calme, si vous savez regarder en oubliant votre modernité vous pourrez parfois remarquer des ganses et des rubans sinueux un peu plus clairs que les eaux environnantes, rappelant une voie lactée marine.
C'est une route sacrée tracée par des hommes et femmes de grandes saintetés, ou par des divinités ayant eu le priviliège de marcher sur les eaux.
Regardez-les et vous les verrez...

L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...

Alors petit port, Saint-Cast voyait belle population de pêcheurs. Comme dans l'immense majorité des populations maritimes, joindre les deux bouts - comme le dit l'expression populaire, était préoccupation récurrente ; ces sociétés étaient bien éloignées de notre monde occidental actuel gaspillant follement. Les vêtements étaient utilisés au maximum et, fort souvent, retrouvaient autres usages ; c'est le cas des vareuses de marins. Le prétexte permettant usage de vieilles vareuses permettait aussi de garder la tête haute et évitait d'afficher sa pauvreté.
Il est dit qu'autrefois, à Saint-Cast mais aussi ailleurs, les femmes couvraient leurs bébés d'une vareuse de marin car cela les protégeaient des rhumatismes et ds maladies infantiles.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Le Ponthou ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Le Ponthou, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Mort accidentelle du délégué sénatorial
Le Ponthou, 10 janvier - M. Jean-Marie Le Meur, conseiller municipal de Plouégat-Moysan, et délégué pour l'élection sénatoriale de dimanche, se rendait samedi soir à la halte du Ponthou pour prendre un train qui devait l'emmener à Landerneau puis à Quimper. M. Le Meur suivait le bord de la voie lorsque, à environ un kilomètre du Ponthou, il a été tamponné par un train. On l'a trouvé mort, dimanche matin, les deux jambes coupées au-dessus du genou. On suppose que M. Le Meur, qui était très sourd, a eu son chapeau enlevé par un coup devent, et qu'au moment où il le cherchait sur la voie, il a été tamponné par la locomotive d'un train.
L'ÉCHO DU FINISTÈRE, 13 janvier 1912
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Gaïdaï en Mongolie
En 1942, Léonid Iovitch Gaïdaï - Леони́д Ио́вич Гайда́й, réalisateur soviétique servit en Mongolie puis au Front de Kalinine. Le film Opération Y voit une réplique célèbre liée de cette période mongole.
Venu chercher des volontaires, un commissaire énumérait les spécialités recherchées. Gaïdaï criant Moi ! à chaque demande, ce commissaire hurla à Gaïdaï de le laisser finir la liste: Gaïdaï, laissez-moi finir la liste !.
Gaïdaï, volontaire, terminera la guerre dans la reconnaissance à pied.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Le Ponthou ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Le Ponthou ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Saint - VI° siècle
Originaire d'Irlande ou d'Écosse, Sidoine, aussi connu sous le nom de Saens, fut capturé par des pirates, sans doute saxons, puis vendu aux moines de l'Abbaye de Jumièges qui rachetait les prisonniers. Lui ayant rendu la liberté, il devint moine en cette abbaye puis, après plusieurs années, alla édifier l'Abbaye de Saint-Saens maintenant disparue. De ce monastère est née la commune de Saint-Saens, en Seine-Maritime.

Ar miz Meurzh gant he vorzolioù
A zeu da skeiñ war hon noriou.Mars avec ses marteaux
Vient frapper à nos portes.

⤇ La territoriale - Année 1896
En soirée, une dame un peu mûre minaude avec un jeune homme :
- Vous comprenez, Monsieur, vous pourriez me compromettre ; je suis obligée de me renfermer dans la réserve.
- La réserve ? Oh ! Madame, vous voulez dire la territoriale !
La Territoriale regroupait les hommes de 39 à 46 ans. Ils joueront un grand rôle lors de la 1° guerre mondiale et seront en fin de conflit, envoyés en 1° ligne comme les plus jeunes.
Nous remercions les différents contributeurs de Le Ponthou.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !