

Guéhenno, commune du Morbihan, voit la présence d'un magnifique et monumental calvaire, le seul du Morbihan.
Commune passionnante de patrimoine, elle possède aussi un remarquable manoir, petit bijou d'architecture. Riche de son patrimoine, Guéhenno est aussi riche de ses campagnes, de son histoire et il y fait bon séjourner.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Guéhenno, en breton Gwezhennoù, est attesté en 1260 dans les archives de l'abbaye de Lanvaux sous la forme Mouster Gwezennoù. Cette première attestation nous rappelle l'existence d'un monastère, initial ou non, implanté sur un lieu boisé signalé par ce gwezhennoù significatif.

Guéhenno porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Guéhenno


Chez les Bouriates, comme chez les Mongols, le feu est sacré et doit être respecté et, vu les froids hivernaux, on comprend pourquoi.
Sahyaadaï Noyon, Seigneur du Feu, est frère de Tengeri, suprême divinité.
Par respect pour le Feu, vous ne le toucherez pas avec des objets pointus, n'y jetez pas de déchets, et ne placez vos pieds vers la flamme.
Ces règles évitent simplement de fragiliser le feu et peut vous éviter brûlures malheureuses...

Il est certains qui ont le don de voir les intersignes du blé - Sinadoù an Ed en breton; ces présages annonçant la mort d'un proche. Certains objets favorisent ces visions.
Si vous avez un épi à sept têtes et des prédispositions, vous distinguerez les intersignes mieux que tous les autres.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Guéhenno ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Guéhenno, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Mauvais biffin
Guéhenno, 13 juin - Quel mauvais biffin, que ce Le Gal, 22 ans, soldat au 70° régiment d'infanterie à Vitré. Il a déja plusieurs condamnations, dont une par le conseil de guerre de Rennes, pour désertion. Étant de passage à Guéhenno, il a dérobé une montre et plusieurs autres objets à M. Druais. Le tribunal le condamne à trois mois de prison.
L'ACTION BRETONNE - 15 juin 1910
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Alphand vole les perruques !
Le 13 mai 1697, au Vigneaux, commune française des Hautes-Alpes, Joseph Giraud, capitaine de Vallouise, portait plainte contre Pierre Alphand, notaire de la Bastie. L'affaire était sérieuse, fit grand bruit dans la région et la procédure fut longue.
Le Tribunal de Briançon vit les juges fouiller leurs archives pour trouver un précédent concernant le Vol de perruque.
N'en trouvant point, ils condamnèrent Pierre Alphand au déperruquement ; ce qui fut fait au grand bonheur de Joseph Giraud !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Guéhenno ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Guéhenno ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Soldat - IV° siècle
Saint patron des commissaires, des maréchaux ferrants, des mendiants, des policiers et des militaires, il est aussi celui du diocèse de Tours et de celui de Tulle.
Né en Panonnie, en 316, actuelle Hongrie, Martin, fils de soldat romain, se retrouve lui aussi légionnaire comme il est devoir aux fils de légionnaires. Sa mutation, en Gaule, l'amène à Amiens, ville où il partage son manteau avec un pauvre. Faisant choix de Chrétienté, il quitte l'armée, rejoint St Hilaire puis, avec lui, fonde le premier monastère de la Gaule à Ligugé, Poitou. Enlevé par les habitants de Tours qui le veulent comme Évêque, il accepte la charge et se consacre à évangéliser la région jusqu'à sa mort à Candes, le 8 novembre 397. Il est un des saint principaux de la Chrétienté.

Ebrelig, Ebrelig,
Digor da zaou askellig.Petit avril, petit avril
Ouvre tes deux petites ailes.

⤇ L'échafaud - Année 1895
Un romancier assistait, il y a quelques temps, à une exécution capitale. Le condamné opposait la plus vive résistance aux aides du bourreau et se faisait littéralement traîner jusqu’au lieu du supplice. Alors, notre écrivain inscrivit sur son carnet cette réflexion, qui éclaire d’un jour tout nouveau une question jusqu’ici tant controversée:
- La peine de mort n’a pas d’adversaires plus résolus que ceux qui vont monter à l’échafaud...
Nous remercions les différents contributeurs de Guéhenno.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !