Vitrac-en-Viadène est une commune de 116 habitants en département de Aveyron qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Vitrac-en-Viadène porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Vitrac-en-Viadène
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
De sanguinaires pirates venant du sud souhaitaient piller les habitants de Sakhaline. Trois guerriers nivkhes courageux, ayant demandé protection des esprits marins qui ne répondirent. Devant ce silence, ils se levèrent, sautèrent à la mer et coulèrent le bateau pirate.
Celui-ci coulé, ils restèrent sur place, se pétrifiant pour continuer à protéger cette partie de l'île.
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Vitrac-en-Viadène ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Vitrac-en-Viadène, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Le cordonnier de Williers
Il s'appelait Médard Corvisier, cordonnier vivant en 1789 à Williers, petit village frontalier des Ardennes françaises.
Il fut arrêté le 25 brumaire An II - 15 Novembre 1793 pour avoir réclamé le retour de l'Ancien Régime. Le 6 thermidor An II - 24 Juillet 1794, il fut libéré sur demande de Vassant, maire de Sedan, mais, en contrepartie, fut condamné à fabriquer des chaussures aux patriotes. Il occupait la cellule N° 36 au Mont-Dieu, ancienne chârtreuse reconvertie en prison sous la Terreur et meurt à Laon le 28 juin 1799.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Vitrac-en-Viadène ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Vitrac-en-Viadène ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
☦ Innocent d'Irkoutsk, Saint - XVIII° siècle
Mort en 1731, Innocent souhaitait convertir les chinois au christianisme. En 1692, Kāngxī, Empereur de Chine, dynastie mandchou des Qing, ouvre les frontières aux missionnaires chrétiens et voit moult missionnaires débarquer dans l'Empire du Milieu. Ces missionnaires créant des tensions, et les points de discordes perçus comme menace pour l'Empire, l'Empereur interdit le christianisme en 1717. Innocent, renvoyé à la frontière, reste à Irkoutsk dont il devient le premier évêque.
Toinne en meù
Poitche là fritâ à tzeu
Toinne en aivri
Poitche là fritâ à pagni.
Tonnerre de Mars
Apporte les fruits à charretées.
Tonnerre d' Avril
Les apporte à paniers.
⤇ Précision importante - Année 1937
À l'école, le maître avait donné un sujet de composition française à ses élèves. Il leur demandait de décrire la chose la plus drôle qu'il aient jamais vue.
Pendant que les élèves s'appliquaient, Gaston, flemmard de service, restait les bras croisés au fond de la classe.
L'instituteur vint alors vérifier son travail et se penchant sur la copie, put y lire:
La chose la plus drôle que j'aie jamais vue est impossible à décrire.
Nous remercions les différents contributeurs de Vitrac-en-Viadène.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !