Tralonca est une commune de 100 habitants en département de Haute-Corse qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Tralonca porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Tralonca
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Certains qui ont don de voir les intersignes ; ces présages annonçant la mort d'un proche. Il existe aussi des intersignes visibles de tous. L'intersigne des chiens - ar Chase en breton, est sans appel:
Lorsque les chiens hurlent la nuit, c’est que l'Ankou essaye de s’approcher de la maison !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Tralonca ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Tralonca, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Ils haïssent notre journal
D'un de nos plus sérieux correspondants:
- Depuis plusieurs semaines, les habitants d'un village de l'arrondissement de Bastia étaient réveillés dans la nuit du samedi au dimanche par des décharges d'armes à feu et des hurlements, qui semblaient provenir d'une propriété appartenant à une personnalité politique du canton. Ces bruits insolites étaient toujours accompagnés d'une grande lueur qui s'éteignait au bout de cinq ou six minutes.
Déjà des histoires où le diable jouait un rôle important circulaient, semant la terreur dans le coeur des braves gens, quand quelques hommes courageux décidèrent de se rendre compte de visu de ce qui se passait, et voici ce qu'ils virent:
Une douzaine d'hommes, dont l'un était affublé d'une vieille livrée — dans laquelle certains ont cru reconnaître l'habillement des gardiens de pénitentiers — tournaient en gesticulant et criaient des insultes autour d'un feu entretenu avec des exemplaires de 'Avanti' !!! Ces fous ne s'arrêtaient de tourner que pour tirer dés coups de pistolet et de fusil sur un mannequin qui était censé représenter Jaurès.
Craignant, étant donné l'état de surexitation des possédés, que leur intervention n'ait des suites graves, les gens venus pour savoir se retirèrent.
Depuis, des langues se sont déliées, et l'on dit que l'homme à la livrée n'est autre que M. B.g.o.i, que chaque samedi il achète tous les numéros de Avanti ! qu'il peut trouver dans le canton, et les brûle dans la nuit, en compagnie de quelques-uns de ses amis.
Est-ce possible ? Qui sait !
AVANTI, Journal Politique Corse - 20 septembre 1913
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Gaïdaï en Mongolie
En 1942, Léonid Iovitch Gaïdaï - Леони́д Ио́вич Гайда́й, réalisateur soviétique servit en Mongolie puis au Front de Kalinine. Le film Opération Y voit une réplique célèbre liée de cette période mongole.
Venu chercher des volontaires, un commissaire énumérait les spécialités recherchées. Gaïdaï criant Moi ! à chaque demande, ce commissaire hurla à Gaïdaï de le laisser finir la liste: Gaïdaï, laissez-moi finir la liste !.
Gaïdaï, volontaire, terminera la guerre dans la reconnaissance à pied.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Tralonca ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Tralonca ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Noble - XIV° siècle
Née à Sienne, ville de Toscane où Alda passa toute son existence et s'y maria. Jeune veuve - elle n'a que 30 ans, noble et riche, Alda se retrouve entourée de soupirants, interessés pour certains. Au certainement dépit de ses nombreux soupirants, elle se consacre au Tiers Ordre des Humiliés et soigne les malades dans les hôpitaux de Sienne. Elle meurt un 26 avril dans cette même ville en l'an 1307.
Meunier, larron,
Voleur de blé pour son cochon
Voleur de blé, c'est son métier !
⤇ Aux Tuileries - Année 1881
Aux Tuileries, deux bébés causent.
- À quoi sert la bouche ?
Pour manger.
- Pourquoi les yeux ?
Pour voir.
- Pourquoi le nez ?
Pour mettre les doigts dedans !
Nous remercions les différents contributeurs de Tralonca.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !