Santa-Lucia-di-Moriani est une commune de 1.200 habitants en département de Haute-Corse qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Santa-Lucia-di-Moriani porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Santa-Lucia-di-Moriani
Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.
Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Santa-Lucia-di-Moriani ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Santa-Lucia-di-Moriani, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Surprenant nouveau-né...
Le 1° novembre 1803, la femme d'un cultivateur de Sigale, commune française des Alpes-Maritimes, accouchait d'un enfant ;il ne vécut qu'une demi-heure.
De sexe féminin, le nouveau-né était doté d'une conformation si surprenante qu'une mission de santé vint de Nice et dressa procès-verbal.
L'enfant fut décrit comme n'ayant pas de cou, pas de nez mais un œil quadrangulaire de la taille d'un œil adulte .Au-dessus de l'œil unique se trouvait un corps charnu, élevé et parfaitement droit, large comme deux doigts. Le front du nouveau-né était inexistant ; il avait deux petites oreilles minuscules.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Santa-Lucia-di-Moriani ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Santa-Lucia-di-Moriani ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Clément 1° - 4° pape, 4° Pape - I° siècle
4° pape d'une église naissante, la vie de Clément I° est peu connue. Il n'est de sa vie que légendes, ou presque ; légende qui le voit exilé en Crimée, martyrisé et exécuté par noyade. Sa place étant à Rome, ses reliques furent, toujours suivant la légende, ramenées à Rome par saint Cyrille et saint Méthode. Un document émouvant et grandiose est parvenu jusqu'à notre époque: Clément, dans une lettre aux Corinthiens, fait l'éloge de la Charité et appelle à la pratiquer.
Mars martelle,
Avril coutelle
Et mai nous achève
⤇ Et après ? - Année 1883
Calinou, par ces temps de fausse monnaie circulante, a reçu une pièce de 100 sous qui est fausse et, sans le savoir, la donne en paiement dans un café.
- La pièce est fausse, fait le garçon en rapportant une rondelle de métal qui semble n'être que plomb vil.
- Fausse ? dit Calinou avec surprise. Reprenant sa pièce, il l'examine puis la rend au garçon en lui disant:
- Regardez, le millésime de cette pièce est de 1837. Si elle était fausse, on s'en serait bien rendu compte depuis cette époque-là !
Nous remercions les différents contributeurs de Santa-Lucia-di-Moriani.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !