Salbertrand est une commune de 572 habitants en département de Turin qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Salbertrand, Salbeltrand en vivaro-alpin, est attesté pour la première fois en 1001 sous la forme Sala Bertani ; il se trouve cité dans une charte impériale d'Otton III° signée le 31 juillet 1001.
En 1029, nous retrouvons ce toponyme sous la forme Salabertani.
Salbertrand porte:
d'azur à une tour d'argent ouverte et ajourée de sable, surmontée des grandes lettres C et S d'or, à une couronne ducale du même, bordée de gueules, posée en chef
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Salbertrand
L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...
Ouessant et toutes les côtes bretonnes, comme toutes les côtes du monde et du monde, furent lieu de croyances et superstitions liées à la mer. Ces croyances et superstitions n'ont pas disparu, elles ont simplement changé de genre et lieu.
Par le passé, sur les côtes de Basse-Bretagne, il était affirmé que si un petit pêcheur naissait au jusant, il n'y aurait pas d'orage dans la journée, le ciel fut-il menaçant...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Salbertrand ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Salbertrand, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Cocufiages à Sens
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Salbertrand ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Salbertrand ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Évêque - VII° siècle
Notable franc, Léger, évêque d'Autun en l'an 663, est contre la Neustrie et pour la Bourgogne. Cela irritant le maître du Palais Neutrien, Ebroïn, Autun est assiégée par ses armées. La ville se rendant, Léger a yeux brûlés, pieds percés et langue coupée par les bourreaux. Enfermé au couvent, il est décapité le 2 octobre 678 dans la forêt de Cherchin en Sus-Saint-Léger. Il est Martyr de la Foi.
Moulinié, farinié,
Traouquo chatso, pano bla
Et peï dit que coï lou rat !Meunier farinier
Perce le sac, vole le blé
Et qui dit que c'est le rat !
⤇ La réforme de l'orthographe - Année 1895
La réforme de l'orthographe fait couler beaucoup d'encre et agite les muscles de la langue. Un instituteur, écrasé par des directives parisiennes abracadabrantes, en perd son français. Toto lui demande un jour:
- Monsieur, écrit-on corridor ou coridor ?
- Comme vous voudrez, mes enfants... Pourvu que vos jambages soient bien formés !
Nous remercions les différents contributeurs de Salbertrand.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !