Saint-André-le-Bouchoux est une commune de 300 habitants en département de Ain qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Saint-André-le-Bouchoux porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-André-le-Bouchoux
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
De sanguinaires pirates venant du sud souhaitaient piller les habitants de Sakhaline. Trois guerriers nivkhes courageux, ayant demandé protection des esprits marins qui ne répondirent. Devant ce silence, ils se levèrent, sautèrent à la mer et coulèrent le bateau pirate.
Celui-ci coulé, ils restèrent sur place, se pétrifiant pour continuer à protéger cette partie de l'île.
Longtemps, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime en 1789, les coutumes locales régentaient la vie des communautés villageoises ou urbaines. Elles étaient souvent fruit de chartes signées avec un seigneur d'autrefois, ou résultats des us passés qui étaient devenus lois communes.
Les droits de passages étaient fortement réglementés, et bien sûr taxés dans la foulée ; cela était le cas de Barrême, petite commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-André-le-Bouchoux ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-André-le-Bouchoux, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Truands de moulins
Les meuniers ont toujours trainé réputation de fripons. Au Moyen-Âge, ils formaient d'ailleurs la bande des blasonnés du truandage professionnel avec les boulangers, les tailleurs d'habits et les juges. Moult mauvaises histoires et dictons à leur sujet circulaient, dont, pour le meuniers, celles de fraudes aux farines.
Il est rapporté qu'en Massif Central mais aussi ailleurs, certains meuniers faisaient des trous discrets dans leurs ais et y accrochaient des sacs à farine. Au lieu d'arriver dans les sacs de leur client, la farine tombait dans le sac du meunier qui, ainsi truandait son client. Multiples Édits Royaux interdisaient strictement ces pratiques sous peine de pilori.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-André-le-Bouchoux ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-André-le-Bouchoux ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Clément 1° - 4° pape, 4° Pape - I° siècle
4° pape d'une église naissante, la vie de Clément I° est peu connue. Il n'est de sa vie que légendes, ou presque ; légende qui le voit exilé en Crimée, martyrisé et exécuté par noyade. Sa place étant à Rome, ses reliques furent, toujours suivant la légende, ramenées à Rome par saint Cyrille et saint Méthode. Un document émouvant et grandiose est parvenu jusqu'à notre époque: Clément, dans une lettre aux Corinthiens, fait l'éloge de la Charité et appelle à la pratiquer.
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ Sincère amitié - Année 1922
Deux jeunes filles en quête de mari discutent.
- Oui ma chère, après six refus, cet homme s’obstine à demander ma main !
- Parbleu ! Maintenant qu’il sait qu’il n’y a pas de danger !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-André-le-Bouchoux.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !