Saint-Nicolas-de-Redon

Saint-Nicolas-de-Redon - Presse passée
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■   Saint-Nicolas-de-Redon: Presse passée

La presse du passé de la commune de Saint-Nicolas-de-Redon est bonne source pour connaître Saint-Nicolas-de-Redon

Ces coupures de presse voient faits-divers, larçins, crimes et violences ou simples cuites verbalisées d'une bonne nuit au violon avec nom, prénom et adresse en clair dans la presse.

À l'époque, les menus larçins pour notre époque voient enquête, et il nous est arrivé de découvrir que le commissaire fait une enquête pour un simple morceau de lard !

Crimes odieux et violences sont aussi légions. La violence était déja forte en ces temps reculés.

Saint-Nicolas-de-Redon

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  • FrançaisSaint-Nicolas-de-Redon
  • BrezhonegSant-Nikolaz-an-Hent
    ( Breton )
  • Population3 000 hab.
    Gentilé
  • Superficie22,32 km²
  • Densité134.41 hab./km²
  • Latitude47° 39 '0" N°
    Longitude2° 4 '0" W°
  • Latitude47.650002°
    Longitude-2.066670°


⌘ Saint-Nicolas-de-Redon: Presse passée


■ La mort de M. Chénard
Saint-Nicolas, 13 février - Un douanier de service à Cran, a retrouvé hier le corps de M. Chénard, percepteur de Saint-Nicolas-de-Redon qui se noya dans les premiers jours de décembre dernier, et dont je vous ai annoncé la disparition. L'identité du cadavre a été parfaitement constatée par les vêtements qui le couvraient, et par la montre dont il était encore nanti.
Il y a deux jours, le canal de Saint-Nicolas-de-Redon fut le témoin d'un accident semblable. S'est encore un ivrogne qui n'ayant pu se maintenir sur le milieu de la chaussée, tomba dans le canal. Quelques instants suffirent pour l'asphyxier complètement.

L'UNION BRETONNE - 15 février 1850

⌘ Presse passée

La presse du passé est passionnante !

Regorgeant d'anecdotes ou de faits-divers, parfois croustillante, souvent sordide, parfois amusante, elle nous permet de ressentir la manière de pensée de nos aïeux, de ceux qui ont vécu en cette commune, en ce territoire, de ceux qui l'ont fait vivre et que nous visitons.

La presse passée redonne vie aux simples citoyens, à ces gens qui n'auront jamais nom en livres d'histoire.

Il est plaisant d'y voir l'évolution des importances: en 1900, le commissaire fait une enquête pour un vol de jambon.

La violence est importante: violences ménagères ou non sont courantes, violences villageoises, banditisme ou non aussi ; les comptes se règlent à coups de poings, de bâtons ou autres armes.

Les cuites sont monnaie courante et pas exclusives de certaines régions: nombre de nos aïeux - ayant sans doute très soif, picolent sec !

Un prix spécial devrait être décerné à certains journalistes de cette presse ancienne: les coupures concernant les cuites et amendes en découlant sont parfois d'un humour extraordinaire.

Nous ne pouvons que vous conseiller de lire et acheter la Presse: vous la ferez vivre et imprimerez l'Histoire !