Migré est une commune de 300 habitants en département de Charente-Maritime qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Migré porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Migré
Une brave femme des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs: ils ne chantaient plus au lever du soleil. Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueilli au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Migré ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Migré, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Citation à la 22° Légion
Nos gendarmes et policiers sont toujours déclarés coupables et trahis par certains politiques ou juges à ne pas qualifier. Par lâcheté politique et judiciaire, ils sont bien souvent livrés à la vindicte sans autre forme de procès. Cette anecdote nous rappelle qu'ils sont aussi d'un grand dévouement et civisme.
Le 23 avril 1873, les gendarmes Mauberret, Davis, Cavaz et Moine, gendarmes de Veynes furent mis à l'ordre de la Légion pour l'énergie, la modération et le tact dont ils ont fait preuve dans la soirée du 13 avril en maintenant l'arrestation de deux perturbateurs qui venaient d'être enfermés dans la chambre de sûreté de la caserne et dont la foule réclamait avec menaces la mise en liberté.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Migré ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Migré ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Séverin de Paris, Ermite - VI° siècle
Enfermé dans une cellule des bords de Seine, Séverin, aspirait à la vie contemplative. Ouvert malgré son retrait de la vie publique, il eut plusieurs disciples dont Saint Cloud, célèbre en région parisienne. Le lieu de sa vie , et lieu où il fut enterré, devint la paroisse de saint Séverin à Paris. Cet ermite vécut au début du VI° siècle et, semble-t-il, mourut en 540.
Quant lou moulier ba hè mole
Trico, traco dab la molo
Dou ben blat, dou fin blat
Quaque coupat de coustat
Quand le meunier va faiec sa meule
DU beau blé, du blé finre moudre
Tric, trac av
Il met quelques mesures de côté !
⤇ Recherche d'emploi - Année 1904
Un pauvre diable se présente chez le Directeur d’une compagnie financière pour obtenir un emploi.
- Que savez vous faire ? lui demande le Directeur.
Pas de réponse...
- Mais enfin répondez donc !
- Je suis sourd, Monsieur, répond-il timidement.
- Sourd ? Vous me convenez parfaitement. J’ai votre affaire, vous rentrerez dès demain dans la maison... Au bureau des réclamations !
Nous remercions les différents contributeurs de Migré.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !