

Langeais est une commune de 4.000 habitants en département de Indre-et-Loire qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Langeais porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Langeais

Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !

Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !

En Saintonge, il était affirmé qu'une belette croisant votre chemin vous présage mauvaises affaires avec une méchante femme. Heureusement que les paysans sont clairvoyants car si vous bougez une pierre, le charme est rompu.
Le poids de la pierre n'étant pas signalé, soyez prévoyants, choisissez là bien ronde et bien lourde ; la pierre bien sûr !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Langeais ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Langeais, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Coups de révolver
Langeais, 28 mars - La population, de la petite ville de Langeais a été mise en émoi par un drame passionnel.
Un jardinier nommé Octave Bourreau, âgé de quarante ans, célibataire, demeurant chez ses parents, a tenté de tuer la veuve de son frère, qu'il poursuivait depuis la mort de celui-ci, c'est-à-dire depuis cinq ans.
La jeune veuve, fatiguée par les poursuites de son beau-frère lui avait signifié qu'elle ne pouvait devenir sa femme, aussi fréquemment des scènes violentes éclataient-elles entre eux.
Bourreau voyant qu'il ne pouvait vaincre la résistance de celle qu'il aimait, résolut de la tuer et de se suicider ensuite. Il acheta, il y a environ huit mois, un revolver, mais ses parents le lui enlevèrent. Il s'en procura un second, dont il eut soin de ne pas se dessaisir.
Hier matin, Mme veuve Bourreau et son beau-frère se rencontrèrent chez les parents de celui-ci. Bientôt une détonation retentit, suivi d'un grand cri; la jeune femme venait de recevoir .une belle qui lui effleura le cou. Quelques instants après on entendit de nouveaux coups de revolver, c'était le meurtrier qui avait tenté de se suicider en se tirant trois balles dans la tête.
Un médecin fut appelé aussitôt et constata que les blessures reçues par le meurtrier et sa victime n'étaient pas mortelles.
Bourreau e été immédiatement conduit à la maison d'arrêt par la gendarmerie.
C'est un alcoolique invétéré, et c'est sa funeste passion qui a occasionné le drame.
La Lanterne, 01 avril 1903
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Irritante République !
Le 25 mars 1792, excédés par les injustices de la République, les habitants de Châteauroux-les-Alpes, paisible commune des Hautes-Alpes en France, se rebellent et attaquent le convoi de munitions destinées à la proche ville d'Embrun et subtilisent 10 caissons, soit 12.600 cartouches.
Les demandes de restitutions étant vaines, le 5 avril 1792, le directoire d'Embrun informe que les caissons doivent être déposés à Embrun dans les 24 heures, sous peine de poursuites et châtiments sévères.
Cela sera fait...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Langeais ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Langeais ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Mémoire obligatoire
Attesté dans le Protévangile de Jacques, la présentation de la jeune Marie, future Vierge Marie, fut éffectuée au temple de Jérusalem par ses parents, Joachim et Anne. par ce geste, ils souhaitaient remercier Dieu de leur avoir donné cet enfant qu'ils désiraient tant. Mmarquée par un grand succès dans les Églises d'Orient ou d'Occident, cette fête mariale est appraue vers le VI° siècle avec certitude.

Avril et Mai, de l'année
Font tous seuls la destinée.

⤇ Porter la culotte - Année 1905
Mademoiselle Toto, huit ans, a déjà des idées très arrêtées sur l’avenir:
- Quand je serai grande, déclarait-elle hier, n’épouserai qu’un sans-culotte.
- Un sans-culotte ?
- Oui, pour avoir le droit de les porter moi-même dans mon ménage !
Nous remercions les différents contributeurs de Langeais.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !