Les grands-chezeaux est une commune de 300 habitants en département de Haute-Vienne qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.
Découvrez la carte de la commune.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Les grands-chezeaux porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Les grands-chezeaux
Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Les grands-chezeaux ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Les grands-chezeaux, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Salade niçoise à la tortue !
À Nice, célèbre ville française en département des Alpes-Maritimes, la population marquait le Carême en cette bonne année 1764. Les viandes interdites, le poisson était autorisé et, les oiseaux de mer alors considérés comme une sorte de poisson, leur consommation était autorisée ; c'était aussi le cas des autres animaux venant de la mer.
En ce beau mois d'octobre 1764, en plein Carème, des pêcheurs ramenèrent une tortue de 200 livres - 90 kg. Franciscains et autres congrégations revendiquant la prise, émeute, bosses et horions s'ensuivant entre partisans des uns ou des autres, la maréchaussée trancha: l'animal fut relâché et les franciscains, marris, durent renvoyer l'animal à la mer !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Les grands-chezeaux ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Les grands-chezeaux ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
✝ Séverin de Paris, Ermite - VI° siècle
Enfermé dans une cellule des bords de Seine, Séverin, aspirait à la vie contemplative. Ouvert malgré son retrait de la vie publique, il eut plusieurs disciples dont Saint Cloud, célèbre en région parisienne. Le lieu de sa vie , et lieu où il fut enterré, devint la paroisse de saint Séverin à Paris. Cet ermite vécut au début du VI° siècle et, semble-t-il, mourut en 540.
Nèu de heure,
La pouro se l'emporto au pè
Neige de février
La poule l'emporte à son pied.
⤇ Bébé et la confiture - Année 1883
Une mère se souciant de l'affection que lui porte son enfant lui demande:
- Bébé, que préfères-tu, Maman ou les confitures ?
Bébé prend un moment de réflexion puis lui répond:
- La même chose !
Nous remercions les différents contributeurs de Les grands-chezeaux.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !