

L'Argentière-la-Bessée fut terre de mineurs depuis le Moyen-Âge jusqu'au XX° siècle. Idéalement située au pied du col du Montgenèvre, au confluent de la Durance et de la Gyronde, L'Argentière-la-Bessée est au cœur de forêts et paysages qui ne pourront que vous séduire.
Si vous optez pour les petites balades tranquilles, vous pourrez choisir entre les deux chemins de découvertes proposés par la commune. Le circuit industriel vous mènera à la Mine du Fournel ; l'autre, agricole, vous emportera dans de longues marches à travers ces montagnes qui n'attendent que vous !

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
L'Argentieras La Bessaa, en français L'Argentière-la-Béssée, tire son nom de la présence d'argent et mine d'argent concédée en 1152 par Frédéric I° Barberousse, Empereur du Saint Empire Germanique, au Dauphin avec droit de battre monnaie.
La mine de l'Argentière est signalée dès 1202 sous la forme de Castrum de Argenteria. La Bessée est un hameau proche de la mine signalé sous la forme de La Bessa ou La Bessaya, la Bezeta. Le sens lui est donné de prairie irriguée>.

L'Argentière-la-Béssée porte:
d'azur à une truite contournée d'argent, lorée d'or et miraillée de gueules, posée en barre, au chef bastillé d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de L'Argentière-la-Béssée
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. L'Argentière-la-Béssée, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !

Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.

Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !

Les Inuits, autrefois appelés Eskimos, étaient de redoutables navigateurs et, sur leurs frêles esquifs - Kayak étant un mot issu d'une langue inuit via le danois, ils parcouraient parfois de longues distances.
Les Inuits de Sibérie croyaient qu'à l'horizon, le ciel était si bas qu'il était possible de le toucher avec une pagaie. Certains navigateurs inuits, le soir lors de leurs veillées décorées d'histoires de pêches et de chasses sur des mers déchainées, affirment avoir atteint les limites océaniques et touché le ciel sans difficultés.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par L'Argentière-la-Béssée ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de L'Argentière-la-Béssée, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant L'Argentière-la-Béssée.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Des nouvelles
L'Argentière-la-Bessée, 20 septembre - Mademoiselle Emma Blein, demeurant chez ses parents à L'Argentière-la-Bessée, Hautes-Alpes, serait reconnaissante à qui lui donnerait ds nouvelles de son frère, abbé Blein, curé de Clavy-Warby.
LA CROIX - 23 septembre 1914
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Bis, Sire, Bis
Les Rois furent toujours plus accessibles que les Présidents.
Louis XVI, rentrant de Cherbourg pour Versailles au rythme lent de son carrosse, passa à Cambremer, commune française du Calvados ; il était suivi d'une foule d'habitants acclamant le cortège royal.
Un paysan de Cambremer vint au côté du carrosse et chanta une louange en l'honneur du Roi. Louis XVI°, enchanté demanda un Bis. Le paysan chanta de nouveau et le Roi lui donna pièces d'argent.
Mettant l'argent en poche, l'homme, futé, ressorti sa main et dit alors Bis, Sire, Bis...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de L'Argentière-la-Béssée ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À L'Argentière-la-Béssée ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Veuve - XII° siècle
Hongroise, Élisabeth, est fiancée à 4 ans et mariée à 14 au Landgrave de Thuringe ; le couple est sincère. Rencontrant des franciscains, se mettant au service des pauvres, elle est veuve à 20 ans et attend son 3° enfant. Chassée par sa belle-famille car refusant de se remarier ; elle se retrouve habiter une porcherie dit la légende. Son oncle, évêque de Bamberg, la voit revêtir la bure, sa famille se charge de l'éducation de ses trois enfants. Elle meurt à 24 ans en 1231.

⤇ La cuisinière - Année 1895
Une cuisinière est convoquée au tribunal concernant une affaire où sont impliqués ses employeurs. Le président l'interroge:
- Madame, dites-nous exactement ce que vous savez ?
- Faire un peu la cuisine, Monsieur le juge...
Nous remercions les différents contributeurs de L'Argentière-la-Béssée.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !