

Pléchâtel est une commune de 2.796 habitants en département de Ille-et-Vilaine qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
C'est au IX° siècle, l'an 875, que nous pouvons découvrir le toponyme de Pléchâtel dans les sources écrites ; on l'y retrouve sous la forme Plebs Castel et Plebis Castel dans des documents signalant que l'Église dépend du diocèse de Saint-Malo. L'année 1052 nous présente un Ploucastellum permettant d'affirmer l'origine bretonne du toponyme. Les ans suivants nous laisserons voir un Ploicastel en 1086, un Plocastel en 1147, un Pleschatel en 1427 ; signalons le Plano Castro de l'année 1516 qui signalerai un terrain plain.
Ce toponyme breton dérive de Plou, Plé - paroisse et Kastel - château. Le breton voyant la première lettre de multiples mots modifiées le genre ou position et lettre précédente dans un mot composé, le K mute ici en G par adoucissement.

Pléchâtel porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pléchâtel
Pléchâtel est sujet d'une charmante légende dont le dit se déroule à l'époque de Salaün, Roi de Bretagne devenu Salomon pour les français.
Une veuve, ayant trois fils, rêvait de leur permettre un bon mariage ; Salomon, rêvant de manger des pêches et ayant charmante fille à marier, fit annoncer que celui qui lui ramènerait les plus belles pêches deviendrait son gendre.
La veuve, ayant beau pêcher et beaux fruits, envoya son aîné qui, rencontrant une mendiante, fut très désagréable ; les fruits devinrent poussins. Le second, de vil caractère et portant panier, rencontra la mendiante à qui il parla fort méchamment ; les fruits devinrent crapauds. Le troisième, doux et gentil, s'en vint au château avec ses pêches. Rencontrant la mendiante, et bien courtois avec elle, il gagna la main de la princesse et belles noces eurent lieu à Pléchâtel ; mais, les épreuves se corsèrent et ne se limitèrent à un panier de pêches...

Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Autrefois, il n'y a donc pas si longtemps, il existait un moyen imparable de débusquer les sorcières d'Ardennes, région de France, et de s'en protéger. Si dans les forêts ardennaises, vous soupçonnez une personne d'être une sorcière, placez deux brindilles de bois en forme de croix sur le chemin qu'elle doit emprunter.
Si la personne est une sorcière, elle ne pourra jamais franchir cet obstacle.
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Pléchâtel ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Pléchâtel, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Cela coule de source
Les eaux ont toujours eu grande influence et intérêt pour notre santé.
Réalisée en 1864, voici une analyse des eaux de Champoléon, adorable commune haute-alpine de France ; aux dernières nouvelles, il y a eu quelques changements depuis.
Athermale, calcique faible, sulfureuse et carbonique faible, elle était appelée la Fontaine du Lait au dire de l'ouvrage mais nous n'avons pu encore la localiser.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Pléchâtel ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Pléchâtel ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Ermite - VI° siècle
Enfermé dans une cellule des bords de Seine, Séverin, aspirait à la vie contemplative. Ouvert malgré son retrait de la vie publique, il eut plusieurs disciples dont Saint Cloud, célèbre en région parisienne. Le lieu de sa vie , et lieu où il fut enterré, devint la paroisse de saint Séverin à Paris. Cet ermite vécut au début du VI° siècle et, semble-t-il, mourut en 540.

Ber, ber, miz C'hwevrer, karg ar poulloù hag ar foz,
Me ho dizec'ho en un deiz hag un noz.Coule, coule, Février, remplis mares et fossés,
En un jour et une nuit je les dessécherai.

⤇ Porter la culotte - Année 1905
Mademoiselle Toto, huit ans, a déjà des idées très arrêtées sur l’avenir:
- Quand je serai grande, déclarait-elle hier, n’épouserai qu’un sans-culotte.
- Un sans-culotte ?
- Oui, pour avoir le droit de les porter moi-même dans mon ménage !
Nous remercions les différents contributeurs de Pléchâtel.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !