Amure est une commune en département de Deux-Sèvres qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 400 habitants.
![]() | Français | Amure |
![]() | Population | 400 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 14,86 km² |
![]() | Densité | 26.92 /km² |
![]() | Latitude | 46°16'0" N |
![]() | Longitude | 0°37'0" E |
![]() | Latitude | 46.266701 |
![]() | Longitude | -0.616667 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Patrimoine de Amure
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Amure
Recette de cuisine
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
Dicton
Dans le mois de février
Une bonne oie doit pondre ou couver.
Dans le mois de février
Une bonne oie doit pondre ou couver.
Aymar - Bienheureux - XIII°
En l'année 1242, Aymar, nonce, douze religieux inquisiteurs prêchaient en Occitanie. Prêchant à Avignonet et hébergés par le bailli, ils furent massacrés à coups de haches par les gens d'armes du bailli.
Aymar et Fortanier furent défenestrés. C'était la nuit du 28 au 29 mai 1242 en pleine croisade contre les Cathares.
La pianiste - Année 1895
Une boutade du pianophobe Ernest Reyer, grand spécialiste de cet exercice. Il se trouvait dans un salon où la maitresse de la maison exécutait une demie-brillante fantaisie sur Salamambô.
- Quel talent, cette comtesse, dit quelqu’un, et quel jeu généreux !
- En effet, riposta le Maître, sa main droite ignore ce que fait sa main gauche.