Peyrens

a_1
 :
télégram V-Kontakte Facebook Whatsapp Tchinggiz X
🎲 ⤇ Le Mémorial de Yurkino

Sponsor

peyrens
<Cliquez l'image>

■ 

Un jour, un poème naquit par sa plume...

Né dans la commune, il fut connu pour ses écrits ou, inspiré par Peyrens et tombé sous le charme de ses paysages ou de ses habitants, il laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues ou oubliées.

Nous souhaitons vous les faire découvrir à travers cette page et vous faire apprécier ce si riche et beau passé malheureusement fort négligé et oublié...


Peyrens

peyrens

  • FrançaisPeyrens
  • Population400
    Gentilépeyrenais
  • Superficie4,77 km²
  • Densité83.86 /km²
  • Latitude43° 22 '0" N°
    Longitude1° 59 '60" E°
  • Latitude43.366699°
    Longitude1.983330°
  • Peyrens16 pages


Rue Bric et Brac

⌘ À mon étoile disparue

◎ D’am steredenn dianket

War varlenn prenestr an ti kozh
Teir falz, un higolenn
Ur morzhol, un annev.
War c’horre — an eil war eben
Div votezig koad melen
O choukoù lêr du.
Pri o doa paket du-hont
E dismantroù Hent an Ametist
Botoùigoù koad melen !
Botezigoù va steredenn !
Hag he c’hofignonoù glas-noz
Ma ‘deus steuet warno ar gevnidenn
He rouedig aerel rodheñvel !
— Peur e teuy en-dro
Va steredenn he zroad mibin ?
… Va steredenn zo klañv
Ha du eo va deiz ha du va noz !
… Sellout a rit dre brenestr an ti kozh
Botoùigoù koad melen
Peur e teuy en-dro hor steredenn ?

Anjela Duval
21 a viz Du 1970

Angéla Duval

◎ À mon étoile disparue

Sur l’appui de la fenêtre du vieux logis
Trois faux, une pierre à aiguiser
Un marteau, une enclume.
Par-dessus — l’un sur l’autre
Deux petits sabots de bois jaune
Aux brides de cuir noir.
Ils avaient ramassé de la boue là-bas
Dans les ruines du Chemin des Améthystes
Petits sabots de bois jaune !
Petits souliers de mon étoile !
Et ses chaussons bleu nuit
Sur lesquels l’araignée a tramé
Son filet aérien et solaire !
— Quand le retrouvera-t-elle
Mon étoile, son pied agile ?
… Mon étoile est malade
Mes jours sont noirs, noires mes nuits !
… Vous regardez par la fenêtre du vieux logis
Petits sabots de bois jaune
Notre étoile reviendra-t-elle ?

Anjela Duval
21 novembre 1970 - Traduction: Paol Keineg

kronstadt-russia-spg-10
Kronstadt: Débarcadère de la Zaria vers 1900